4eme de couverture : En 2052, la mer de glace n'est plus qu'un lointain souvenir.
Des fouilles dirigées par Victoria Plantier, chercheuse au CNRS, et ses équipes, vont mettre à jour une cavité à deux cents mètres au-dessous de la surface. Cette salle, prénommée « Espoir », marque le départ d'une fantastique épopée humaine, avec la découverte d'une porte permettant aux scientifiques de découvrir un monde oublié de tous.
Mais cette mystérieuse salle cache bien des mystères, et les percer à jour pourrait bien changer à tout jamais l'histoire de l'homme et de la femme...
L'auteur ne cache pas son admiration pour le grand René Barjavel, et il règne autour de ce roman un petit air bien agréable, revenu de profondeurs de la nuit des temps !
La première partie, durant laquelle on suit les explorations archéologiques de Victoria Plantier et ses découvertes toujours plus extraordinaires et incompréhensibles, peut parfois paraître un peu longue. Mais c'est sans doute pour mieux nous imprégner des mystères et faire monter peu à peu le suspens. À travers la progression sous la mer de glace, pas à pas, l'auteur nous plonge dans le même état d'étonnement et d'incompréhension que l'équipe de chercheurs ; leurs réflexions, leurs questions, sont les nôtres. Comme eux on s'interroge, parfois on s'impatiente, souvent on émet nos propres hypothèses, quitte à se tromper...
Et puis vient la deuxième partie et on passe de l'obscurité de ce monde souterrain à la lumière !
Le mode de narration, change en même temps que le style de l'auteur qui devient plus poétique, plus passionné... Les questions accumulées dans la première partie trouvent peu à peu leurs réponses ; le brouillard se lève sur le Yacouthir. Comme chez Barjavel, les histoires d'amour traversent le temps, avec leur lot de bonheur et de drame, de fidélité et de trahisons...
Il n'y plus qu'à attendre la suite et le Livre 2.
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