La Demoiselle
Demoiselle jolie qui frôle ma main nue,
De ton aile fragile au reflet de diamant,
Où donc te caches-tu quand la nuit est venue
Et que brille le ciel des feux du firmament ?
Je t’imagine ainsi ma belle zygoptère,
Tu te changes en fée à l’abri des roseaux;
Alors la lune seule aperçoit les mystères,
Que cache la rivière au profond de ses eaux.
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